Vingt ans ont passé, il pleure sa famille, tant de bonheur, dont on l’a privé.
L’empreinte du passé, il cherche la force, de toujours, avancer
Le destin brisé, il trouve en sa famille, ses amis, la force d’exister.
Cette adrénaline, qui sans cesse l’habite, le pousse au danger
REFRAIN
J’FAIS LA PROMESSE AU DIABLE DE TOU – TOUJOURS Y CROIRE !
VIENS, PRENDS MA FORCE,
COULE LE SANG, LE SANG DE MA TERRE,
J’AI FAIT TANT, TANT DE PRIÈRES,
JE VEUX JUSTE, QUE MES PROCHES, SOIENT FIERS,
DE L’HOMME DE PAROLE, QUI SORT, DE L’ENFER !
Sur une étagère, il scrute son béret vert, qu’il a tant aimé.
Rester près des siens, ou partir au combat, tel est son destin.
La France a si mal, qu’il n’a d’autre choix, que d’aider ses frères de cœur.
Des forces spéciales, aux combats dans les rues, il fonce en témoin du danger
REFRAIN
Si ce n’est pour moi, j’le fais pour eux ,
Si ce n’est pour moi, quia Illis…
QUIA ILLIS